Ludicaire et gérant du magasin de jeux de société à Orchies – Qui suis-je ?
Mon nom : Florian
Ma passion : les jeux de société
Mon skill : inexistant
En effet, je suis un amateur de jeux, quels qu’ils soient, depuis ma plus tendre enfance.
J’ai commencé par les jeux vidéos, comme beaucoup, mais ai très vite découvert un petit jeu de cartes indépendant au cours de mon adolescence : Magic the Gathering. Et c’est là que j’ai pu vraiment m’amuser, et notamment faire des decks nuls avec des combos improbables, et surtout infaisables.
C’est aussi grâce à ce jeu que j’ai pu apercevoir l’autre aspect extrêmement intéressant du jeu de société : l’interaction entre les joueurs, dans la vraie vie. Car un jeu bien designé, c’est bien ; mais s’il est fait pour être joué chacun dans son coin autour d’une table, autant sortir un jeu vidéo ! Et c’est avec Magic que j’ai appris à sortir mes plus gros bluffs, et notamment ma phrase fétiche : « Non, mais c’est méga large là ! ». Phrase à sortir principalement quand on est en train de prendre une sévère déculotté !
Puis j’ai grandi, et un peu délaissé le jeu de cartes au profit du jeu vidéo. Mais l’univers du jeu de société n’était jamais très loin, notamment lié au fait que j’étais rôliste ! Et lorsque l’on achète des livres de jeux de rôle, de belles boîtes hautes en couleurs ne sont jamais très loin… Finalement, je suis retombé dans l’univers du jeu de cartes avec le très bon Trône de Fer JCE, dans lequel je continuais à faire des decks improbables et améliorer ma compétence « bluff » !
Quelques temps plus tard, je découvre enfin le jeu de société moderne. J’avais déjà eu l’occasion de jouer à des jeux tels que Marrakech ou une sorte de Cluedo Harry Potter plutôt bien foutu, mais ma véritable introduction dans ce monde fût avec Dominant Species. Un petit jeu simple, qui se joue en « à peine » 3 heures et avec des prises de décision toujours complexes à faire !
Depuis, ma ludothèque se remplit, que ce soit avec des classiques tels que Sagrada ou Hanabi, ou des choses un peu plus spécifiques, comme Edge of Darkness (de notre Dieu à tous John D. Clair), Anachrony ou encore Cloudspire.
